Vous est-il déjà arrivé, lors d’une promenade en décembre, de lever les yeux vers les arbres et de vous arrêter, saisi par la beauté insoupçonnée de leurs branches ? Ces silhouettes dénudées, que l’on croirait tristes ou monotones, recèlent en réalité une élégance rare, une forme de grâce que seule la saison froide sait dévoiler. Si vous avez pris le temps de les observer, alors vous savez : décembre ne nous offre pas une nature endormie, mais une nature qui se révèle autrement, plus pure, plus mystérieuse.
Observer ces branches, c’est aussi apprendre à voir la beauté là où on ne l’attend pas. Dans un monde où tout va vite, où les couleurs criardes et les formes tape-à-l’œil dominent, décembre nous offre une leçon de sobriété. La nature ne cherche pas à nous éblouir ; elle nous murmure simplement : « Regarde mieux. » Et soudain, ce qui semblait vide devient plein. Ce qui semblait mort devient vivant. Ce qui semblait ordinaire devient extraordinaire.
Alors, la prochaine fois que vous marcherez en forêt, dans un parc ou même dans votre jardin, ralentissez. Arrêtez-vous devant un arbre. Suivez du regard le tracé de ses branches, comme on lit un poème. Laissez-vous surprendre par leur danse immobile, leur force tranquille. Vous découvrirez peut-être, comme moi, que décembre ne nous prive pas de beauté – il nous en offre une autre, plus intime, plus profonde.
Alors, la prochaine fois que vous marcherez en forêt, dans un parc ou même dans votre jardin, ralentissez. Arrêtez-vous devant un arbre. Suivez du regard le tracé de ses branches, comme on lit un poème. Laissez-vous surprendre par leur danse immobile, leur force tranquille. Vous découvrirez peut-être, comme moi, que décembre ne nous prive pas de beauté – il nous en offre une autre, plus intime, plus profonde.
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