Il y a quelque chose de fascinant à lever les yeux vers les palmiers, ces géants élancés dont les palmes se découpent en une dentelle vivante contre l’immensité du ciel. Leurs feuilles, fines et légères, s’agitent doucement sous la caresse du vent, dessinant des arabesques changeantes sur un fond de bleu azur strié de nuages blancs. Chaque palmier semble danser une partition silencieuse, comme s’il voulait capturer l’éphémère et le transformer en poésie.
Le vent joue avec leurs feuilles, les faisant frémir et bruisser doucement, un son à la fois sec et mélodieux. En été, leurs ombres mouvantes dessinent des motifs complexes sur le sol, tandis qu’en hiver, leur silhouette se découpe avec une netteté presque graphique. C’est un spectacle qui change avec les saisons, les heures et les lumières, mais qui garde toujours cette capacité à m’apaiser et à m’émerveiller.
Il y a quelque chose de rassurant dans leur présence. Peu importe la saison, ils sont là, immuables et pourtant toujours changeants, selon la lumière ou l’humeur du temps. Parfois, je m’assois sur un banc et je les observe longtemps, laissant mon regard suivre le mouvement des feuilles, comme une méditation. C’est un moment où tout semble plus clair, plus léger, comme si les palmiers me rappelaient que la beauté est souvent une question de perspective.
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1 commentaire:
Ta série sur les palmiers est agréable à découvrir . Bonne soirée . Amitiés
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